La notoriété des Ainciart et des Bergara de Larressore

24 avril 2012

La notoriété des Ainciart et des Bergara de Larressore
La notoriété des Ainciart et des Bergara de Larressore

Voici quelques extraits de 1903 à 1979.

« Un fabricant, à Larressore près Cambo, B.P., Ainciart, s’est fait une spécialité avec ses bâtons de luxe. Les bois sont irréprochables comme forme et comme dessins…Les makillas d’Ainciart sont tous signés et datés par lui ». Xavier de Cardaillac, 1903. Propos Gascons 2e série.

« Et quand le directeur du musée accepta du fabricant Ainciart, de Larressore, son makhila démonté, analysé dans ses éléments, il fit plus que chose de service, il accomplit un service social…Un vrai makhila est tout un poème ». Camille Jullian. La Revue Hebdomadaire, 4 septembre 1926 (Article relatif au Musée Basque).

« Au Musée Basque on peut admirer un bel ensemble de la fabrication du makhila, très intéressant à tous points de vue. Au centre un assortiment curieux provenant de 3 générations de la même famille, Gratien Ainciart, Antoine Ainciart et Jean. Jean Ainciart est un véritable maitre dans son art. Il faut comparer leurs œuvres… A Larressore, un véritable maître dans son art, Jean Ainciart, dit Quillot, fils et petit fils de fabricants de makhila ». J.-B. Daranatz, 1927. Curiosités du Pays Basque.

« J. Ainciart, de Larressore, est un fabricant renommé ». Paul Vovard, 1935. Ainhoa et la vallée de la Nivelle.

« Il est assez difficile d’avoir un véritable et authentique makila. Un artiste en ce genre de fabrication est J. Bergara, de Larressore, qui, en 1936, a obtenu le diplôme de meilleur ouvrier de France ». Paul Guiton, 1939. Routes des Pyrénées. Arthaud éditeur.

« Larressore s’enorgueillit de posséder une des plus célèbres fabricants de cannes Makila de France ».
France Illustration. N°102. 1947.

« Loin des tendances modernes, vers quelque industrialisation, Jean Ainciart a donné toute sa noblesse à la fabrication du compagnon du Basque…mort en 1932, il a laissé le secret personnel de sa facture et de son art à son gendre, Bergara ». René Cuzacq, 1950. Revue Pyrénées.

« Le makila, … évoluera tout le long du XIXe à travers les générations successives d’une même famille labourdine de fabricants de quenouilles ». Marie-France Chauvirey, 1975. La vie quotidienne au Pays Basque sous le second Empire. 

« Sur le fronton, Bergara descendant et continuateur de Gratien Ainciart est le seul artisan qui élabore des makilas, canne basque selon les pratiques traditionnelles ». Eugène Goyheneche, 1979. Le Pays Basque.

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