Jean Ainciart a une fille, Marie-Jeanne, qui se marie en 1926 avec Jean Bergara. C’est là l’origine de notre signature Ainciart Bergara. Donc en 1926 Jean Bergara hérite aux côtés de Marie-Jeanne des savoir-faire et secrets de fabrication du makhila Ainciart.
Dix ans plus tard, il se présente au concours de la 4e exposition nationale du travail à Paris et reçoit le titre d’ un des Meilleurs Ouvriers de France en tant que Fabricant de cannes basques Makila.
Cette réussite fut fêtée dignement sur le fronton à Larressore le 4 octobre 193 et ce fut l’occasion de louer les qualités d’artisan de l’inoubliable Jean Ainciart disparu en 1932 et de son gendre Jean Bergara, le type idéal de l’artisan régional.
Marie-Jeanne ne fut pas oubliée pour autant, elle qui fut le bras droit de son père.
Dans la revue Gure Herria, Emmanuel Souberbielle rend ainsi hommage aux artisans de notre atelier et, en passant, au makila l’emblème et le sceptre du Basque.