Jean Ainciart doit beaucoup aux qualités d’artisan de son père Antoine. Il acquiert une renommée importante et est reconnu de son vivant comme un maître en matière de fabrication de makhila. La maison Ainciart commence à être connue et associée au makhila.
En 1918, Jean-Baptiste Daranatz écrit « Jean Ainciart, de Larressore, est un fabricant (de makhilas) renommé » et « Jean Ainciart dit Quillot, fils et petit-fils de fabricants de makhilas, un véritable maître dans son art ». C’est, d’après les écrits de l’époque, également lui qui a donné ses lettres de noblesse au makhila.
« Ce furent les Ainciart, fabricants de quenouilles à Larressore, petit bourg du canton d’Ustaritz, qui contribuèrent à mettre au point les proportions et les éléments décoratifs du makhila » (Claude Bailhe, 1999. Autrefois le Pays Basque).